Un dimanche de pluie, un temps pourri pour le 1er marché dominical de février, à ne pas mettre un Chevignois dehors. Sur le parking de l’ogive, moult voitures, pas pour le marché, surement pour une compétition à l’intérieur du Dojo.
Un marché presque désert, balayé par le vent, tourbillonnant, sans âme. Les 8 commerçants présents, des résistants fidèles pour les clients. Le marché de Chevigny pas encore au tapis, une période creuse pour des jours meilleurs.
La meilleure façon de marcher, c’est d’y aller, qu’importe les éléments.
8 février 2016
Quotidien