Il paraîtrait que de jeter une paire de basket en hauteur sur le fil, signifierait la perte d’une vie à cet endroit, un hommage en sa mémoire, comme un bouquet de fleurs entrelacé, entre lacets.
Lâche-moi les baskets, une expression que chacun a utilisé. Une formule qui s’adresse au lourd, au pesant et autres collants. Pour cette fois, c’est un lancé de baskets. Suspendu sur un fil triphasé, comme un geste voulu, précis. Une « œuvre » contemporaine qui laisse des traces dans la brume électrique.
Un coup de pompe vers Amora. Rue du point du jour- Chevigny City
P. M
30 août 2016
Quotidien